The Residents › Kaw-Liga (Dancemix)

vos commentaires

Demonaz Vikernes › il y a 7 ans Envoyez un message privé à Demonaz Vikernes...

Je ne suis pas un spécialiste des Residents loin de là, ni de "la scène expérimentale et post-industrielle" d'ailleurs, alors vous pardonnerez mon absence de vision globale je l'espère. Mais ce single, je le trouve géniale. L'original et la prairie sont divins. L'horreur sert de fermeture agréable. Un single parfait. "Quant à savoir laquelle il vous faut", la réponse est : la version chroniquée. Ce que j'ai pu entendre des autres versions ne semble pas valoir le coup.

Note donnée au disque :       

Jean Rhume › il y a 12 ans Envoyez un message privé à Jean Rhume...

Du coup, obligé de le réécouter, le "Beyond the Infinite Beat". Dommage qu'on soit encore hors sujet rapport aux Residents mais c'est vrai qu'il est pas si mal. Bon allez, avec beaucoup d'indulgence et de réminiscences salvatrices. Je me demande si je l'aurais gardé s'il était signé DJ Jean-Claude. D'ailleurs ce sont des remixes (DJ Sugar Ray, Dave Ball...) mais des remixes de quels morceaux au juste ? J'aimais beaucoup le premier morcif mais aussi "I.C. Water Remix By Evil Eddie". Ceci dit, des basses slappées et des pianos housey façon Mr. Fingers chez Psychic TV, ça fait bizarre...

Wotzenknecht › il y a 12 ans Envoyez un message privé à Wotzenknecht...

Bin non, c'est intéressant votre affaire (moi je l'aime bien ce towards thee infinite beat, délicieusement ringard)

dariev stands › il y a 12 ans Envoyez un message privé à dariev stands...

oui, et voulu en vendre, aussi... PTV a toujours été un peu marketing sur les bords, marketing underground hein, mais y'a quand meme cette idée que c'est la créature de P-orridge et donc que le nom ptv peut potentiellement se retrouver sur n'importe quoi. D'un autre coté, un tel virage stylistique sorti sous le nom psychic tv, c'était une prise de risque... Parmi tant d'autres. (sorry pour le HS au chroniqueur)

Jean Rhume › il y a 12 ans Envoyez un message privé à Jean Rhume...

Certes mais dans ce cas, pourquoi avoir sorti l'album sous le nom Psychic TV ? Je sais bien que l'intérêt des débuts de ce mouvement était l'anti-starisation via la sortie de maxis sans infos, la multiplication des pseudos pour brouiller les pistes, etc... mais en l'occurrence, ils l'ont signé cet album. Il aurait été plus drôle de découvrir après que PTV était derrière ce disque. Non, ils ont peut-être voulu faire genre "nous aussi on en est, regardez comment on est pas à la ramasse niveau avant-garde" (ou plutôt niveau air du temps).

dariev stands › il y a 12 ans Envoyez un message privé à dariev stands...

"Ca aurait pu être n'importe qui." héhé, c'est pratiquement le credo de tout le genre techno/house des débuts, c'est ça qui est bon à vrai dire... Les multiplications de pseudos, de fausses-pistes... Interchangeable dans le bon sens du terme, si cela est concevable (dans le sens d'un trip un peu transe, comme dirait Bernard Campan, dépersonnalisation, euphorie collective, tout ça...). ça a à voir avec l'ecsta et son coté "tout le monde est pareil et cool" forcément (enfin pr la frange Européenne). Diskomo par contre, c'est vraiment du pur residents, plus à rapprocher de Pil faisant Death Disco... quel dommage qu'il y ait pas eu de réédition cd...

Jean Rhume › il y a 12 ans Envoyez un message privé à Jean Rhume...

J'ai la version vinyle "Housey/Stripped/Nightmare Mix II". Quand c'est sorti, on trouvait ça bien décalé mais c'est vrai qu'au final c'est très moche. Y a même la fameuse flûte Ushuaïa, c'est dire la mocheté. Par contre, si la basse reprend exactement les mêmes notes, j'ai pas l'impression qu'il s'agisse réellement d'un sample de Michel Jason (peu importe vu le résultat).
Quant au Psychic TV dont tu causes, avec le recul il est stupéfiant de platitude (et encore plus aujourd'hui). Il y avait bien un ou deux titres qui le faisaient plus ou moins, mais on ne voyait pas trop en quoi c'était du Psychic TV. Ca aurait pu être n'importe qui. Et vu que c'était n'importe quoi, on notera une certaines cohérence finalement.