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M.B. › Symphony For A Genocide
vos commentaires
- CeluiDuDehors › Envoyez un message privé à CeluiDuDehors...
Comme le dit la chronique cette musique est incroyablement "terne" et tire meme vers le chiant si on fait rien d'autre en l'ecoutant...je prefere assez nettement Menses et Neuro Habitat sans trop savoir pourquoi mais ca reste unique et definitivement un classique du genre.
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- Jean Pierre Moko › Envoyez un message privé à Jean Pierre Moko...
bien atroce, bien glauque, pépère.
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- necromoonutopia666 › Envoyez un message privé à necromoonutopia666...
T'ain ce truc tue! Les amateur de M.B pourraient ils me conseiller des albums aux sonorités similaires?
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- Shelleyan › Envoyez un message privé à Shelleyan...
Monsieur a les intestins créatifs ? J'ai peine à le croire...
- heirophant › Envoyez un message privé à heirophant...
Ca fait pas peur, j'ai l'impression d'entendre mes flatulences.
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- terres promises pour acouphènes › Envoyez un message privé à terres promises pour acouphènes...
En tout cas SFAG n' est pas dénué d' humour voir de Rock n roll pour le petit clin d' oeil à Kiss "I was made loving you"!! ;)
- Dioneo › Envoyez un message privé à Dioneo...
En effet...
J'avais pas vue celle-ci, à vrai dire (ou je l'avais zappé...).
- robingoodfellow › Envoyez un message privé à robingoodfellow...
Petite intervention qui n'a rien à voir avec la musique (qui est d'ailleur très bonne d'un côté comme de l'autre), mais les pochettes de "symphony for a Genocide" de Bianchi et "history is what's happening" de the ex sont issues du même cliché je pense. Les dates de sorties étant très proches (peut-être 1 an), c'est une curiosité non? Y a t'il d'autres exemples???
- Wotzenknecht › Envoyez un message privé à Wotzenknecht...
Pour ceux que cela intéresse il ya une réédition de la version K7 privée de SFAG, nommée SFAG, à l'interprétation assez différente, en format K7 comme à son origine, cette fois sur Mirror Tapes - je devrais avoir quelques copies sur Soleil Noir très bientôt.
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- Wotzenknecht › Envoyez un message privé à Wotzenknecht...
je ne vois pas en quoi cela diffère de ce que j'ai pu dire précédemment. l'indus post-indus n'a pas la même démarche et se serait passer à côté de la plaque que de vouloir faire de l'indus "d'époque" aujourd'hui, pour la raison qu'a souligné heirophant. C'est exactement pareil pour le punk.
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- dariev stands › Envoyez un message privé à dariev stands...
"Ce qui est intéressant par la suite, c'est l'exploration des possibles." ah ben tu vois, tu évolues ;-)
- Wotzenknecht › Envoyez un message privé à Wotzenknecht...
Là tu as malheureusement raison. C'est aussi un peu la faute à la mécompréhension indus = bruit de machines. Bah, maintenant PTV fait du rock psychédélique et l'indus c'est devenu Suicide Commando et Marilyn Manson (attention Dariev, j'ai fait une sentence définitive). En tant qu'extrême c'est normal que l'instant ait prévalu, tout comme avec le punk des années 70. Ce qui est intéressant par la suite, c'est l'exploration des possibles.
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- heirophant › Envoyez un message privé à heirophant...
Je l'avais déjà lu, merci. Leur tentative de subversion a simplement échoué, l'indus est devenu un genre, comme la noise, qui n'a plus rien de subversif.
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- Wotzenknecht › Envoyez un message privé à Wotzenknecht...
Félicitations heirophant ! Tu viens de gagner le droit de lire la chronique de "The first annual report of Throbbing Gristle".
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- Reflection › Envoyez un message privé à Reflection...
Pas faux... Je souffre beaucoup plus en écoutant le dernier album de R'N'B à la mode, qu'un COP de SWANS ou autres. Alors qu'on aurrait pu croire l'inverse, finalement on s'habitue a tout (ou presque). Et finalement on est pas maso, même si on écoute des albums dit "extreme" c'est que quelque part on aime ça (ou du moins ça nous procure des sentiments que l'on recherche). Si j'avais juste envi de me faire mal, bêtement et simplement, j'écouterais fun RADIO a fond toute la journée.
- heirophant › Envoyez un message privé à heirophant...
Ca me fait marrer quand meme ce sous genre "indus"...La véritable musique indus, c'est celle qu'on entend tous les jours à la radio, à la tele, dans le metro, dans le bus, une musique sans ame et robotique produite à la chaine. Le reflet de notre condition d'homme moderne, c pas throbbing gristle qui nous l'apprend, il suffit d'ecouter la musique dominante qui se vend, la véritable aliénation est là. donc, si vous voulez souffrir, n'écoutez surtout pas de musique labellisée "indus".
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- Shelleyan › Envoyez un message privé à Shelleyan...
c'est bon, là tu m'as convaincu. Je lis chaque fois tes chros avec attention, teste des échantillons sonores, mais souvent ça reste extrême pour moi...Là pourtant, tes mots et le peu écouté sur le net m'ont poussé à la curiosité et je viens de le commander.
- VL › Envoyez un message privé à VL...
plutôt d'accord avec toi, sauf sur l'opposition prisonnier vs citoyen bien portant. en fait, la question est : peut-on être dégoûté de l'humanité pour de mauvaises raisons ?
- Wotzenknecht › Envoyez un message privé à Wotzenknecht...
Le dégoût dont témoigne MB à l'époque pour le pire de l'Homme rejoint les sentences péremptoires d'Albert Caraco, ou le travail nihiliste démentiel d'Opalka qui a cessé de vivre au profit d'une oeuvre qui ne fait que mesurer l'effet du temps afin d'oublier sa propre personne. Mais cette posture est aussi une impasse qui bien que terrifiante ne doit pas s'avérer réductrice voire négationniste : il y a du mauvais comme du bon dans le genre humain, et s'appuyer sur un côté de la balance peut souvent s'avérer n'être autre qu'un reflet bien personnel d'une fascination déviante ou lâche. J'accepterai de lire une sentence telle que "Car ce qui nous lie, nous, êtres humains, c'est uniquement notre médiocrité et notre lâcheté égoïste" de la part d'un prisonnier de camp, mais j'ai plus de mal à la lire chez quelqu'un ayant grandi par temps de paix avec les moyens de cultiver sa conscience à portée de main. L'horreur et le traumatisme furent bien réels. Mais je peux tout aussi bien répondre "Car ce qui nous lire, nous, êtres humains, c'est uniquement notre capacité à sortir et se relever des pires situations". J'en veux pour preuve la vie de Perec. Pour en revenir à l'album lui-même, il est effectivement fascinant et monstrueux et tu l'as très bien montré. Mais la vie pousse et repousse, même sur la merde.
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