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Yello › One Second

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Yello - One Second
dariev stands Envoyez un message privé à dariev stands...
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Billy MacKenzie des Associates ?

Yello - One Second
sergent_BUCK Envoyez un message privé à sergent_BUCK...
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"Nononon ! c'était pas moi, c'était l'autle !!" ;)

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Yello - One Second
Neocreed Envoyez un message privé à Neocreed...

putain le premier titre c'est la carioca. je sens que je vais l'aimer ce One Second, très moustache, rouge a levres & salome de bahia

edit : et la suite, on dirait une compil de chansons d'intro des vieux james bond. ouch.

Yello - One Second
Wotzenknecht Envoyez un message privé à Wotzenknecht...
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The moon is on ice, it smiles from above / It lights up the night, and sends you its love

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Yello - One Second
sergent_BUCK Envoyez un message privé à sergent_BUCK...
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haa, oui... leur marque de fabrique !

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Yello - One Second
Wotzenknecht Envoyez un message privé à Wotzenknecht...
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merveilleux. et ces moustaches, bon sang

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Yello - One Second
cyberghost Envoyez un message privé à cyberghost...

Tiens, Yello, quelqu'un m'en avait causé, je sais plus qui, en tout cas, j'ai fini par choper claro que si il y a une semaine, alors qu'il traînait pour une misère dans un vieux bac d'occase, et c'est franchement terrible, ça me fait penser à un mélange de Devo et des Residents, en plus pop mais bien cheesy! De là à y être accro, y a pas loin...

Yello - One Second
mangetout Envoyez un message privé à mangetout...

Je réécoute les premiers Yello en ce moment et comparativement de "voyage new-wave" je trouve justement qu'il n'y en a pas beaucoup dans ce "One second" et les suivants, au contraire de tous ceux qui l'ont précédé qui renferment les "tics" et idées de cette "nouvelle vague", à la sauce Yello bien évidemment, et ce depuis le premier "Solid pleasure" en 1980, les textures, les voix aussi chaudes qu'un glaçon, les atmosphères sombres et tendues, les rythmes carrés et cette gestion savante des contraires, le feu poly-rythmique pactisant avec la glace électronique ("Bostich" sur "Solid pleasure" ou "Daily disco" sur "Claro que si"), on sent tout ce qu'ils doivent à Kraftwerk et aux Residents ! Est-ce le départ de Carlos Peron en 1983 qui changea la donne où est-ce le succès qui leur arrondit les angles ?