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The Stranglers › The Raven

vos commentaires

The Stranglers - The Raven
zugal21 Envoyez un message privé à zugal21...

Incontestablement daté ( non ? ) , mais incontestablement bon. J'y entends beaucoup de quelque chose de mécanismes d'horlogerie complexe, d'entrecroisements, sur la plupart des titres ( néanmoins ce trait me semble commun à plusieurs de leurs albums ).

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The Stranglers - The Raven
Walter Smoke Envoyez un message privé à Walter Smoke...

C'est le seul Stranglers que je possède, et il déchire grave. Si l'on exclut les deux premiers morceaux, (d'où une boule qui manque), rien n'est de mauvaise qualité ici, mais alors RIEN. Cet enchainement de perles est tellement immense que je ne sais d'ailleurs pas quoi dire d'autre !

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The Stranglers - The Raven
Harry Dickson Envoyez un message privé à Harry Dickson...

First and last men walk this earth, but only a few survive. 1979. En plein dans les cinq très grands albums des Stranglers.

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The Stranglers - The Raven
ericbaisons Envoyez un message privé à ericbaisons...

cette face B d'enflures quand meme

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Shelleyan Envoyez un message privé à Shelleyan...
avatar
L'oeil fier, le plumage brillant, le bec acéré ^^
The Stranglers - The Raven
empreznor Envoyez un message privé à empreznor...
Whaou, il a la classe notre nouveau chroniqueur!
The Stranglers - The Raven
Aiwass Envoyez un message privé à Aiwass...
Beni soit cet homme... Mon préféré des Etrangleurs. Des ambiances complètement cheap et flippées, rose bonbon ou rouge sang, de la pop ovni, parfois très colorée comme sur "Duchess", avec une voix moins agressive mais en retrait, toute petite et minimalisée, qui sur ce titre rappelle fortement "Video Kill The Radio Star" des Buggles, un album très varié avec incursions technoïdes sur "Nuclear Device" ou "Meninblack" avec ses voix sous helium... entre Kraftwerk baroque et relents post-punks singuliers... et... et... "Don't Bring Harry", LA ballade au piano, plus sombre et évocatrice que jamais, un peu à la Lou Reed mais en plus soyeux, la ritournelle sous héroïne qui met le vague à l'âme et m'emmène loin, loin, dans un monde bizarre où les bars à putes sont remplis de corbeaux au crépuscule, qui tournoient autour de réverbères violacés surplombant un amas de charognes grossièrement maquillées. Un album à l'image de sa pochette: MAGNIFIQUE.
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