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Rising Dust › Rising Dust

7 titres - 44:27 min

  • 1/ Hell of witchfinder
  • 2/ Doom revelation
  • 3/ Absolution
  • 4/ Don't burn the witch
  • 5/ Dark wild lady
  • 6/ Dark side of the seventies
  • 7/ Ride of the dragon

extraits audio

informations

line up

David (Chant, Guitare), Steff (Basse), Malek (Batterie)

chronique

Tiens, un album de Doom français. C’est suffisamment rare pour que je m’arrête deux secondes vous raconter une jolie histoire. Il était une fois dans l’affreuse ville de Paris, 2 musiciens qui venaient tout juste de quitter leur précédent groupe (Dark white / Doom trad / 1992 – 2000). Fort dépourvu, notre duo se met alors en quête d’un nouveau batteur et, une fois celui-ci trouvé, se baptise Rising dust. En 2001, le groupe commence à bosser ses morceaux, puis sort une démo 2 titres l’année suivante. Finalement, en 2005, il trouve un label plutôt sympa (Final chapter) et finit par réaliser son premier album. Et ce qui est bien avec Rising dust, c’est que je n’ai pas eu besoin de trop me creuser pour vous trouver les groupes qui les ont influencés. Déjà parce que les influences en question (Black sab’, St vitus, Pentagram, tout ça…) sont remerciées dans le livret, mais aussi et surtout parce que de l’intro de « Hell of Witchfinder » à la dernière note d’orgue de « Ride with the dragon », ce disque dégouline littéralement de tout ce que le Doom trad dans sa frange la plus old school, limite Hard Rock 70s par instant, a pu produire de plus cool. Chaque morceau est donc gavé jusqu’à la moelle de riffs ultra groovy et pesants, de solos plutôt bien sentis, de rythmiques… groovy et pesantes (en fait, tout le monde a le groove lourd ici, c’est un peu le but). Le chant est en adéquation avec la musique, légèrement nasillard (un peu à la Pentagram en fait), il colle plutôt bien aux textes, qui abordent les thèmes classiques du genre, avec une fixation particulière sur l’inquisition. Comme je disais plus haut, il est bien cool ce disque, pas original pour un sou, sûrement pas prise de tête, clichesque à mort, mais on passe un bon moment à l’écouter, et on n’hésite pas à le ressortir lorsque se fait sentir l’envie de se faire une petite galette de Doom à l’ancienne, sans exhumer toujours les mêmes (excellentes) vieilleries…

note       Publiée le vendredi 12 mai 2006

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Note moyenne        5 votes

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Chris Envoyez un message privé àChris
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4 boules pour moi aussi ! c'est de la bonne ! bien grasse et bien groovy en provenance directe des années 70 !
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Møjo Envoyez un message privé àMøjo
J'trouve quand même ça pas gégé sur disque Rising Dust... Par contre sur scène, ça se défend très largement mieux...
yog sothoth Envoyez un message privé àyog sothoth
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ouais, j'ai hésité et puis bon, c'est tellement pas original que je suis resté à 4 (mais c'est très très bien hein...)
Note donnée au disque :       
juj Envoyez un message privé àjuj
lol, omg, wtf
toxine Envoyez un message privé àtoxine
Rhah p'tain Yog tu suckz des cockz à mettre seulement quatre boules à cette merveille! Rising Dust n'est pas aussi original que euh chais pas, mettons Melt Banana, mais (bon ok ces groupes n'ont rien à voir) largement mieux! D'abord la voix superaigüe de la chanteuse soûle vite (t'façon, les japs soûlent vite, c'est génétique chez eux) pis bon, cette musique rapide & pêchue me laisse froid. ALORS QUE, les grooves pentagrammantesques, la lourde marche des éléphants de cette trèèès belle ville qu'est Paris, le gros gras grand son gratteux riffant non pas seulement du cliché 70 mais des phrases restant en tête tout le long du jour. Pas plus, pas moins. I tell you we are doooomed, my friend!
Note donnée au disque :