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Discipline › Downfall of the working man

12 titres - 40:49 min

  • 1/ Belief (3:20)
  • 2/ Downfall of the Working Man (3:21)
  • 3/ Strenght to Live (3:43)
  • 4/ Hell is for Heroes (3:33)
  • 5/ Boys Will Be Boys (3:45)
  • 6/ Road to Freedom (3:24)
  • 7/ Red & White Army (2:43)
  • 8/ No Surrender (2:46)
  • 9/ When I'm Dancing I Ain't Fightin' (2:37)
  • 10/ End of the Road (3:14)
  • 11/ From Vengeance to Victory (3:52)
  • 12/ Words Out of Life (4:31)

informations

2004

line up

Joost De Graaf (chant), Carlo Geerlings (basse), Erik Wouters (guitare), Joost Strijbos (batterie)

chronique

  • punk > streetcore

"Downfall of the Working Man" doit être quelque chose comme le dixième disque des hollandais de Discipline. Et non, si le producteur rap El-P n'a rien à voir avec Emerson Lake and Palmer, Discipline n'a, lui non plus, rien à voir avec le King Crimson des années quatre-vingt. Aucun rapport non plus à vrai dire avec les tous débuts de ce groupe qui sonnait autrefois bien plus hardcore. Streetcore sur papier avant de l'être dans l'âme, leur nouvelle livraison ne devrait pas pour autant surprendre ceux qui s'étaient déjà farcis "Saints & Sinners" en 2002. Ils sont - paraît-ils - plus de dix mille rien qu'en Europe. Voilà un petit temps déjà que la tengente post punk a pris chez Discipline un ascendant certain. Des rythmiques métronomiques plombées sans inventivité, des choeurs de machos qui singent Thin Lizzy - ou serait-ce plutôt Status Quo ? - sans jamais y avoir prêter la moindre oreille (la plage titre ou "Red & White Army"), le discours du groupe hollandais se situe pour ainsi dire quelque part entre Green Day et Give Up the Ghost, sans être aussi populaire que les premiers, ni aussi extrême que les seconds. Le guitariste Erik Wouters trimballe avec lui une nostalgie eighties qui transparaît le plus clairement dans les solii qu'il execute systématiquement sur tous les titres. Effet pour le moins désuet. Certains titres de "Downfall of the Working Man" figuraient déjà sur le split "100% Thug Rock" publié plus tôt en mars 2004 sur Captain Oi! Bref, les gars de Discipline ne se sont pas posés trop de questions en rentrant à nouveau en studio, enregistrant leurs titres à la chaîne pour un travail vite fait bien fait, mais qui ne véhicule aucune émotion ni aucune franche brutalité. Le genre de truc à écouter en bruit de fond lors de la retransmission d'un match de foot à la télé, la télécommande dans une main, une choppe dans l'autre. Avec quarante minutes au compteur, cela devrait suffire pour tenir au moins une mi-temps sur deux...

note       Publiée le samedi 17 septembre 2005

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    commentaires

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    Mountain of Judgement Envoyez un message privé àMountain of Judgement

    Le seul que je connaisse de Discipline. Mou du genou. Pas envie de creuser davantage.

    Note donnée au disque :       
    Potters field Envoyez un message privé àPotters field

    plus auto-parodique qu'autre chose...

    R_ONE Envoyez un message privé àR_ONE
    D'la zik de Hools, pas le meilleur, mais il s'ecoute sans probleme, sont gros coté punk, Oï, beaucoup moin HxC ... Un skeud a ecouté avec ses potes pour une soiré binouze/sport ...
    Note donnée au disque :       
    noar Envoyez un message privé ànoar
    ah c'est clair que ça va pas chercher loin mais uen chanson comme "road to freedom" est bien efficace et entraînante grâce à ce côté oï, coeur de hooligans, riffs carrés...
    zen Envoyez un message privé àzen
    groupe bien laid et au discours bien débile voir franchement haineux... moi j'adhère pas.