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Psyopus › Ideas of reference
- 2004 • Black market activities 1 CD
détail des votes
Membre | Note | Date |
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EyeLovya | dimanche 21 mai 2023 - 13:57 | |
SIKTH | mercredi 13 avril 2005 - 21:18 | |
Antropophage | vendredi 3 août 2007 - 22:04 |
9 titres - 43:16 min
- 1: Mork and mindy (daydream lover)
- 2: The white light
- 3: Death, I...
- 4: The longroad to the 4th dimension
- 5: Mannequin
- 6: Mirrorrim
- 7: Imogen's puzzle
- 8: Anomaly
- 9: Bones to dust
informations
line up
Fred Decoste • basse Adam Frappolli • chant Greg Herman • batterie Christopher Arp • guitare
chronique
Il y a peu, Ion Dissonance m'avait foutu une sacrée claque avec son premier album, véritable petit bijou de metal brutal synthétisant tout ce qui se fait de new school dans le milieu. On a depuis vu apparaître pas mal de ces groupes nu metal, genre Red Chord, Crowpath et compagnie. Psyopus est sans doute le rejeton le plus talentueux du lot. Plus brutal, plus technique, plus fou, Psyopus joue à un autre niveau. Luddite Clone meet Cryptopsy meet Humans Remains meet Dillinger Escape Plan. Les blasts sont innombrables, les descentes de manches n'en finissent plus, les dissonances et notes sifflées affluent par tornade, les trips jazzy ultra clichés sont bien entendus de la partie, tout comme les roulements de grosses caisses ahurissants et les hurlements à la Burnt by the sun. Parfois, des mélodies s'esquissent, pas trop longtemps, faudrait pas pousser non plus. Rien de bien original dans tout ça, vous en conviendrez, mais Psyopus est tellement brutal qu'il le vaut bien, à tel point qu'on pourrait presque qualifier ce "Ideas of reference" de grind progressif, oxymore s'il en est. Il vous en coûtera de nombreux déchirements musculeux suite aux moshs parts dissonants (si si, on peut faire des moshs parts avec des grosses dissonances !), les ralentissements suivis d'accélération puis de ce même ralentissements puis de cette même accélération (pendant au moins une dizaine de mesures), les sweeps vous donneront du fil à retordre (si tant est que vous soyez apprenti guitariste), quand à la batterie, le kit doit bien s'étaler sur 50 m² tellement ça part dans tout les sens. Alors, si tu as aimé Ion Dissonance, Pysopus est pour toi, sachant que tu ne trouveras là rien que tu ne pourras déjà trouver chez maître Ion, et dont le seul défaut sera d'être beaucoup trop, mais alors beaucoup trop technique.
note Publiée le mercredi 13 avril 2005
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- juj › Envoyez un message privé àjuj
- tiens, je découvre avec leur suivant ... c'est rigolo, ce machin ; on dirait vaguement du Blood Brothers en moins Priscilla
- SIKTH › Envoyez un message privé àSIKTH
- Le nouvel album est sorti et je peux vous dire qu'on est loin du revirement à la The End ! Plus de prise de risque aussi je trouve, que le second Ion Dissonance. Enfin les guitaristes jouent en tapping pendant presque tout le disque, il faut aimer ! Admirez le titre : our puzzling encounters considered
- Note donnée au disque :
- heirophant › Envoyez un message privé àheirophant
- oua! à la première écoute, ca déchire bien le trou de balle ce truc! bon, je sais pas si ca tient la longueur tant de chaos ultra technique, mais pour l'instant, je trouve ca beaucoup mieux que ion dissonance.
- lägg › Envoyez un message privé àlägg
- Bon Ok Sgmund, Trop d'ironie tue l'ironie.
- lägg › Envoyez un message privé àlägg
- Bon Ok Sgmund, Trop d'ironie tue l'ironie.