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Death In June › Something Is Coming

cd 1 • 16 titres • 45:45 min • croatia live!

  • 1Death is the martyr of beauty04:51
  • 2Hullo angel01:28
  • 3Giddy giddy carousel01:56
  • 4Hollows of devotion03:17
  • 5Rocking horse night03:32
  • 6He’s disabled03:27
  • 7Fall apart02:31
  • 8Heaven street03:04
  • 9Break the black ice03:51
  • 10Leper lord01:11
  • 11The golden wedding of sorrow03:00
  • 12Torture by roses02:57
  • 13Little black angel02:50
  • 14But, what ends when the symbols shatter?02:21
  • 15Fields of rape03:22
  • 16Ku ku ku02:01

cd 2 • 5 titres • 13:25 min • zagreb studio

  • 1Giddy giddy carousel02:07
  • 2Runes and men02:31
  • 3The golden wedding of sorrow03:09
  • 4Fall apart02:19
  • 5Death is the martyr of beauty03:20

informations

CD I-Live enregistré au Tabula Club, Zagreb, Croatie, 8 octobre 1992 CD II-Sessions studios enregistrées pour la Radio Nationale de Croatie, Zagreb, 9 octobre 1992

L'édition cd est limitée à 5000 ex. Digipack 4 volets Le second disque ne comporte que la face A de pressée. La réédition vinyle de 2002 propose en bonus du matériel inédit sur la face B du second disque.

line up

Simon Norris (percussions et autres instruments), Douglas Pearce (guitare, chant, percussions)

chronique

avatarMarco

  • dark-folk

Cet album est à plus d’un titre une aubaine pour les fans. D’abord parce qu’il s’agit du premier live officiel de DIJ (qui était de plus le premier groupe anglais à venir jouer depuis le début des hostilités !), si l’on exclut les sessions live de ‘Burial’.Ensuite, la qualité sonore de très bonne facture rendent les pirates inutiles. Enfin, un 2ème cd d’enregistrements pour la radio croatienne offre de nouvelles versions sympathiques de quelques titres. Ajoutons encore que les bénéfices de la vente de ce disque étaient à l’époque reversés à un hôpital croate qui s’occupait des victimes de la guerre, ce qui permettait donc de faire une bonne action (mamie, j’ai eu un bon point !). Si je parle au passé, c’est surtout que cette pièce de collection est épuisée depuis, et qu’à moins que vous vous soyiez fendu de la réédition vinyle de l’an passé, il faudra vous armer de patience et errer dans les conventions de disques, ou attendre un éventuelle réédition. L’interprétation est sans faille (le public peu expressif, mais à mon avis c’est surtout que DIJ n’était pas forcément très connu dans les balkans jusqu’à lors), aucun album n'est omis et les versions studios feront le bonheur des inconditionnels (ah, ‘Giddy giddy carousel’…).

note       Publiée le lundi 25 août 2003

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    Note moyenne        9 votes

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    commentaires

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    Solvant › Envoyez un message privé àSolvant

    Faire les cons en Croatie c'était pas malin finalement.

    Note donnée au disque :       
    Potters field › Envoyez un message privé àPotters field
    je suis overfan de Crecy. ça n'apporte rien non plus, je le concede.
    boumbastik › Envoyez un message privé àboumbastik
    La pochette me fait irresistiblement penser à un dessinateur de BD français appelé Nicolas de Crécy, qui a réalisé Foligato (entre autres), dans les couleurs et le traitement des textures (les carreaux à la droite du personnage). Voilà, c'était le commentaire qui n'apporte rien au skeud (je sors, je sors).
    zugal21 › Envoyez un message privé àzugal21
    Le live est très dépouillé, très pur ...
    Note donnée au disque :       
    kama › Envoyez un message privé àkama
    LE live de la periode 'acoustique' pré Julius. Les orchestrations sont forcement plus depouillés mais les choix pris par Pearce ne dénaturent pas les morceaux, au contraire il les sublime (violons sur Runes & Men). Set list en forme de best of, et si on peut reprocher l'absence de certains titres, elle est largement compensée par la performance parfaite de Douglas, sommet de son chant. Le live intemporel de DiJ, qui naura pas pris une ride dans 20, comme un bon Neil Young.