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The Death Riders › Soundtrack for depression

cd • 10 titres

  • 1God hates the dirty ones
  • 2Suffer
  • 3Under
  • 4I am a no one
  • 5Death in the valley
  • 6No mercy
  • 7Mexican radio
  • 8Mary
  • 9Turning blue
  • 10Dead garden

informations

line up

Rob 'Blasko' Nicholson (basse), The Messenger (chant guitare), Johnny Coffin (guitare, chant), Unknown D.C. (batterie, choeurs)

Musiciens additionnels : Chuck Garric (chant), Sluggo (contrebasse sur 'Mexican radio'), The Katy Lee Dahmer Orchestra (cuivres, cordes, piano), Mark Christian (guitare additionnelle sur 'God hates the dirty ones')

chronique

  • horror rock

The Death Riders ou la mort version badass parce que c’est bien connu, ‘Dieu déteste les crados’… Dégaines de Fields of The Nephilim descendus d’une Harley plutôt que d’un canasson, la poussière du Nouveau Mexique collée sur les fringues en bonus. Et devinez qui est derrière tout ça ? Un certain Johnny Coffin que les fans de guitare connaissent par sa marque Coffin Case (oui, oui, c’est ça, des boîtes de rangement en forme de cercueil), lequel s’est adjoint les services de Rob Blasko, ex-bassiste de Rob Zombie et actuel pour Ozzy Osbourne ; sans qu’on puisse parler de super-groupe, il est évident que les mecs ne sont pas des amateurs. Au programme : du rock burné pour motard mais enrichi d’une touche gothique, de très légères influences psychobilly, d’un doigt de surf, parfait pour s’envoyer sa dose d’électricité mais avec de solides mélodies en prime, du genre qu’on chantera sous la douche ou en briquant la bécane. Avec un tel bagage, les Death Riders peuvent se permettre un disque plus varié que la moyenne dans le genre avec des titres travaillés dans les ambiances comme ‘Death in the valley’ ou des pruneaux directs dans la gueule tels que le génial ‘God hates the dirty ones’ (que je m’écoute au minimum trois fois avant de passer à la suite du disque), ‘Suffer’, ‘Mary’ ou ‘No mercy’ avec ses riffs limite hard rock sur le refrain et son intro pour film d’horreur mexicain de série Z. Bien entendu, rien d’original, les accords, les arrangements sont prévisibles, le timbre rocailleux passé à la nicotine et au bourbon ultra cliché, mais le charisme est là, le doigté aussi (purée, cette basse qui claque comme un fouet) et ça fait toute la différence. Pas grand chose à jeter sur ce skeud, solide et sincère de la première à la dernière note, parfait pour les déçus de The Almighty ou ceux qui se demandent ce que pourraient donner White Zombie version psycho surf.

note       Publiée le samedi 25 juillet 2015

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