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Southpaw › Southpaw

cd • 10 titres • 45:36 min

  • 1Christmas04:12
  • 2Thy Will Be Done05:12
  • 3The Great Unknown04:27
  • 4Permanent05:05
  • 5Vertigo04:23
  • 6All That I Want04:49
  • 7Oh Yeah03:09
  • 8Surprise03:57
  • 9Caught in the Middle04:27
  • 10Holy Water05:55

informations

line up

Fredrik Åkesson (guitares), Mats Levén (chant, claviers), John Levén (basse), Richard Evensand (batterie)

chronique

Mats Levén le grand - et même en 2014, comme j'ai tristesse à le constater : le vieux - n'a pas fait que des merveilles, loin s'en faut. Dussiez-vous être, à mon image, une groupie de la seule Barbie du genre à véritablement mériter son titre, vu ce qu'il a été (et sera sans doute) capable de pondre tantôt avec Leif Edling (Krux, Abstrakt Algebra, et bientôt Candlemass), et vu comment il a su tirer les ficelles pour m'attirer vers des trucs auxquels j'aurais jamais eu l'idée de prêter une oreille autrement, et même sous la torture (Therion, At Vance, The Poodles (!)...). Le bon Mats Levén. C'est toujours la larme roulante à l’œil que je découvre son patronyme au sein d'un line-up, du coup. Il me fait sentir l'âme d'un aventurier du spandex. Padalin de l'érotisme médiéval. Mais Southpaw, avouons-le, c'est juste dégueulasse. Déjà faut contextualiser. Faut se dire que ce disque a été enregistré complètement à l'arrache, comme un side-projet de quatorzième catégorie, et tandis que Mats Levén se tapait des allers-retours à Miami pour enregistrer un album d'Yngwie Malmsteen. Et que cet album de Southpaw il est sorti chez Z Records, le label hardouse ultime. Générateur de pas envie. Alors quand pour enfoncer le coup il démarre au culot avec un tel morceau d'alt-metal indescriptiblement sordide, ça fait déjà un sacré paquet d'arguments pour se garder d'aller plus loin. Mais on est tenace des fois. Parce que c'est Mats Levén, merde. Le Action Man du glamouze. Le seul chanteur heavy qui assurerait dans une adaptation de Crocodile Dundee à l'opéra. Alors on continue. Et on tombe plus loin sur quelques passages sympas, quand même. Ils sont égarés au milieu du marasme Alice in Chainsien ambulant que jouent Southpaw, dont la maigre fougue est malheureusement annihilée par une trop régulière collection d'arrangements gâteux et inavouables (le violon ? Sérieusement ?). Et donc je cite : deux trois riffs turgescents, une collection de plan à burnes, et puis... la chant de Levén, quoi d'autre. Ça fait pas grand chose ? Certes non, ça fait pas grand chose.

note       Publiée le jeudi 24 juillet 2014

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