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Jim White (usa) › Where It Hits You

  • 2012 • Loose VJCD196 • 1 CD

cd • 11 titres • 58:05 min

  • 1Chase The Dark Away5:30
  • 2Sunday's Refrain5:00
  • 3The Way Of Alone5:45
  • 4State Of Grace5:19
  • 5Infinate Mind3:22
  • 6What Rocks Will Never Know5:03
  • 7Here We Go3:04
  • 8My Brother's Keeper7:21
  • 9That Wintered Blue Sky5:50
  • 10Epilogue To A Marriage6:50
  • 11Why It's Cool5:01

informations

line up

Byron Isaacs (vocaux), Jim White (usa) (chant, flûte, guitare, harmonica, claviers, percussions, piano, sifflements), Bryan Howard, Mitch Corbin (guitare acoustique, mandoline), Terri Binion (banjo, guitare acoustique, vocaux), Mike Ferrio (guitare acoustique, vocaux), Caroline Herring (vocaux), Chris Costigan, Jeff Crouch, Marc Gilley, Kevin Hyde (trombone), Will Johnson (vocaux), John Keane (guitare acoustique, pedal steel, vocaux), Paige Keane (vocaux), Rachael Keane (vocaux), Ruby Kendrick (vocaux), Tony Leone, Gail Marowitz, Matt Lapham, Fiona McBain, Dan Nettles (guitare électrique), Glenn Patscha, Marlon Patton (basse électrique, batterie, contrebasse, percussions), Ash Raymond (violon), Jeff Reiter, Rob McMaken (dulcimer, guitare acoustique, mandoline, vocaux), David Schweitzer (vocaux), Andrew Small (contrebasse, violoncelle), Rion Smith, Jack Sterling, Matt "Pistol" Stoessel (pedal steel), Tim Turner, Ian Werden, Jeremy Wheatley (vocaux)

chronique

Where It Hits You, dernier album en date du beau gosse mystique, c'est aussi le premier en date à s’émanciper du confort tout familial que lui offrait David Byrne avec Luaka Bop. Bon je sais pas si ça a été un choc dans sa vie, si du coup ça lui a donné envie d'écrire une chanson sur son père incarné pour l'occasion par un ange blond chargé d'inventer l'orangeade sans sucre, mais dans la forme on peut se rassurer, ça fait pas une différence fondamentale. Jim White fait toujours du Jim White. Il est toujours amoureux des atmopshères contemplatives qui parlent des découvertes étranges et fabuleuses d'un lonesome boy perdu dans un Twin Peaks à l'époque des grandes floraisons. Il aime toujours les instrumentations et les arrangements de chef de 4 étoiles nourri au David Byrne. Il aime toujours apporter un soin particulier aux parties vocales et draper ça d'un voile spiritual et enchanté. Ça fonctionne toujours bien. Parfois un peu moins, mais parfois mieux aussi. Where It Hits You garde de cette poésie faussement dandy qu'il y avait sur Transnormal Skiperoo. Il y a toujours de cette dose de bon goût dans l'écriture, aux frontières de la pop et de l'arty. Jim White sait se jouer de ce qu'on eût bien eu envie de le prendre pour un branleur, lorsqu'il dégaine juste à temps un banjo ou une lap steel, et renvoie les potentiels a priori frelater un whiksy industriel d'un bar de centre ville. On va pas parler de grâce non plus, faut pas déconner. Pour un type qui porte des chemises à carreaux avec des poches à rabats et qui aime s'afficher avec un Stetson, c'est tout sauf approprié. Mais on peut au moins se féliciter que y'ait un peu de ces messieurs tout-le-monde illuminés comme lui pour rappeler à quel point la campagne, ça peut aussi être spirituel.

note       Publiée le vendredi 25 avril 2014

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