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Biota › Almost never

20 titres - 52:06 min

  • 1/ Burn Daylight part 1 (4:01) - 2/ Burn Daylight part 2 (3:24) - 3/ Burn Daylight part 3 (3:07) - 4/ Burn Daylight part 4 (2:31) - 5/ Burn Daylight part 5 (2:06) - 6/ Burn Daylight part 6 (1:18) - 7/ Circling These part 1 (0:45) - 8/ Circling These part 2 (3:50) - 9/ Circling These part 3 (3:09) - 10/ Circling These part 4 (2:20) - 11/ Circling These part 5 (3:43) - 12/ Circling These part 6 (1:32) - 13/ Circling These part 7 (0:41) - 14/ Circling These part 8 (2:08) - 15/ Old Reason Road part 1 (2:08) - 16/ Old Reason Road part 2 (0:40) - 17/ Old Reason Road part 3 (4:09) - 18/ Old Reason Road part 4 (5:37) - 19/ Old Reason Road part 5 (3:30) - 20/ Old Reason Road part 6 (1:27)

informations

Dys Studio, Fort Collins, Colorado, USA, été 1989 - hiver 1991

line up

James Gardner (trompette, Fender Rhodes), Tom Katsimpalis (guitares, orgue), Steve Scholbe (guitares, saxophone, clarinette, marxophone), William Sharp (flûte à bec, hurdy-gurdy), Gordon Whitlow (orgue), Larry Wilson (batterie), Randy Yeates (percussions)

chronique

Le concept que se propose d'illustrer "Almost Never" est ambitieux : articulé autour de trois compositions principales, celles-ci sont réécrites pour différentes combinaisons d'instruments, un peu à la manière des musiques de chambre, pour déboucher sur le résultat que l'on sait... Une musique improbable, comme jouée par un groupe d'extra-terrestre venus d'on ne sait quelle galaxie. "Burn Daylight" et "Old Reason Road", tous deux en six parties, sont les pièces les plus mystérieuses, les plus solennelles (parfois même lyriques) du présent ouvrage alors que "Circling These" en huit parties est plus fantasque, voire drôle. Toujours aussi cotonneuse, la musique de Biota est comme un nuage noir au-dessus de nos têtes, une menace permanente, le signe latent de l'orage à venir et qui met nos nerfs à rudes épreuves. Percussions, instruments à vents, claviers et guitares sont réappropriés et nous aident à reconsidérer le rôle de chacun de ceux-ci dans l'inconscient collectif. "Almost Never", comme beaucoup des disques de Biota, est la bande sonore de l'étrange, de l'indiscible. Un mauvais trip, qui relègue aux oubliettes l'univers glauque et décalé d'un Angelo Badalamenti ("Twin Peaks").

note       Publiée le mardi 7 mai 2002

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