La Floa Maldita › Destination heaven

Plus exactement, si Chris Polh et Mylène Farmer nous faisaient des p'tits, il y en aurait un dans la portée qui se nommerait La floa maldita. Cette chronique sera courte car il y a peu à dire sur cet album et ce duo : leur style est sans doute plus sombre que celui de notre Mylène nationale (même si celle-ci a pu nous pondre quelques brulots très glauques dans son répertoire, force et de reconnaitre que les meilleures chansons de la donzelle ne sont souvent pas les plus connues), et on pourrait comparer les meilleures chansons de "destination heaven" à quelques morceaux de Blutengel ou d'Unheilig ("sorcière" ou "your indecision"). Pourtant, quelques petites ballade toutes guillerettes renvoient plutôt à "libertines" ou "sans contrefaçon". Je citerai la chanson "l'oasis" dans ce sens. D'ailleurs, parenthèse : le groupe est sensée être teuton mais chante soit en français, soit en anglais, va comprendre... Bref, un petit groupe sans prétention, qui a su tout de même attirer l'attention de Das ich si on en croit le remix de "sorcière" figurant sur "destination heaven". Un album tout simple, à passer comme musique de fond au cours d'un buffet entre amis, ce que je fais souvent.