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Renaissance › Live at Carnegie Hall

cd • 102:46 min

cd • 6 titres • 50:24 min

  • 1Prologue 8:08
  • 2Ocean gypsy 7:13
  • 3Can You understand ? 10:47
  • 4Carpet of the sun 3:47
  • 5Running hard 10:03
  • 6Mother Russia 10:26

cd • 2 titres • 52:22 min

  • 1Scheherazade 29:18
  • 2Ashes are burning 23:04

informations

Carnegie Hall, New York, États-Unis, 20-22 juin 1975

line up

Jon Camp (basse, choeurs), Tony Cox (direction), Michael Dunford (guitare acoustique, chant), Annie Haslam (chant), Terrence Sullivan (batterie, percussions, choeurs), John Tout (claviers, choeurs), The New York Philharmonic Orchestra

chronique

Sur papier, cet unique album en concert devrait pouvoir faire l'unanimité : double, il présente Renaissance sous son meilleur jour, au pic de sa célébrité, alors qu'il tournait intensivement aux États-Unis, accompagné du New York Philharmonic Orchestra. De plus, les huit morceaux qu'il présente sont parmi les plus emblématiques signés par le groupe depuis sa ... renaissance sur "Prologue" : la plage titulaire du précité, trois extraits de "Ashes Are Burning" (outre la plage titre, "Can You Understand ?" et "Carpet of The Sun"), deux de "Turn of The Cards" ("Running Hard" et "Mother Russia") et enfin, "Ocean Gypsy" et la longue suite qui donne son nom à leur dernier disque, "Scheherazade". La période Relf/McCarty est volontairement mise au placard, comme si elle n'avait jamais existée (après tout, Haslam ne présente-t-elle pas "Ashes Are Burning" au public américain comme étant le deuxième album du groupe ?). Puis, vient s'insinuer la réflexion suivante : qu'attendre d'un groupe qui écrit sa musique sur papier millimétré et qui semble opposé à toute idée d'improvisation ? "Renaissance Live at Carnegie Hall", c'est donc d'abord la célébration d'un évènement : la fin d'une tournée triomphale, et le souvenir désormais gravé pour la postérité de cet instant. Car, en effet, les titres joués sont scupuleusement interprétés tels qu'ils apparaissent sur les disques studio. Même tempo, et presque même timing ! Seul écart de conduite dans cette attitude limite psycho rigide : les vingt trois minutes de "Ashes Are Burning", deux fois plus long que sa version album, qui y va même de son petit solo de basse (petit, petit : cinq minutes quand même !). Reste la performance de Annie Haslam qui laisse éclater au grand jour la grande flexibilité de sa voix haute perchée. Mais on aura beau retourner le problème dans tous les sens, il faut simplement prendre ce live pour ce qu'il est : une idéale entrée en matière pour qui désire découvrir la musique de Renaissance.

note       Publiée le samedi 5 septembre 2009

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