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The Residents › Meet the Residents

cd • 12 titres

  • 1Boots0:54
  • 2Numb erone1:07
  • 3Guylum Bardot1:19
  • 4Breath and length1:44
  • 5Consuelo's departure0:59
  • 6Smelly tongues1:44
  • 7Rest aria5:09
  • 8Skratz1:43
  • 9Spotted Pinto bean5:27
  • 10Infant tango5:28
  • 11Seasoned greetings5:13
  • 12N er Gee7:16

informations

USA, 1973

line up

The Residents (tous les instruments, chant)

chronique

Il était temps que quelqu'un s'y colle et parle ENFIN des Residents sur Guts of Darkness, car on ne peut pas être pris au sérieux deux secondes quant on compte parler de musique sombre et expérimentale sans parler des Residents, puisque ces deux adjectifs résument parfaitement l'univers du groupe. Nous sommes en 1973 et cette galette, réputée pour avoir été un des échecs les plus cuisants de l'histoire du disque (moins de cent exemplaires vendus) est un véritable pavé dans la mare : à commencer par la pochette qui, on s'en doute, leur a valu bien des problèmes. Un point commun qu'ils partagent avec Frank Zappa qui, lui aussi, avait appris à ses dépends qu'on ne peut pas parodier impunément une pochette des Beatles (sur "We're Only in It for the Money"). Et ce n'est pas le seul point commun qui lie nos protagonistes ; l'esprit frondeur, iconoclaste et je m'en foutiste de l'un se retrouve chez l'autre, faisant de "Meet the Residents" un album impossible, à tous les sens du terme. Un tel niveau de n'importe quoi savamment orchestré n'avait jamais été entendu. Si ce premier disque est particulièrement rude et pénible, ils ne s'arrêteront pas là...

note       Publiée le samedi 23 mars 2002

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notes

Note moyenne        23 votes

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commentaires

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Coltranophile Envoyez un message privé àColtranophile

Bizarrement, de ceux que je connais, celui-ci est le plus "tubesque", du moins celui où l'humour, la poésie (voir la mélodie) et le malaise s'équilibrent le plus. Si on se paluche sur Zorn et Disco Volante, celui-ci devrait donner lieux à des concours d'onanisme aussi. Y'a quelques (courts) moments qui me font penser à Beefheart en mode poisson mais, sinon, ils étaient déjà eux et contre tous.

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Alfred le Pingouin Envoyez un message privé àAlfred le Pingouin

C'est tellement punk

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Dans Le Brouillard Envoyez un message privé àDans Le Brouillard

Il à été réédité en 1977 avec une autre pochette (avec des crevettes (John Crawfish, George Crawfish, Paul McCrawfish et une étoile de mer pour "Ringo Starfish") suite à plainte du label (Apple) des Beatles. Excellent album.

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Solvant Envoyez un message privé àSolvant

Ouais là, Proggy a visé complétement à côté.

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Tago Pago Envoyez un message privé àTago Pago

Mais c'est une claque cet album les gars !! Seasoned Greetings? Rest Aria ça ne vous parle pas ?? C'est du jamais entendu. °DaDa°

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